Olivier BEREZIAT

Pour la première fois, il a été montré que les enfants maltraités ont un cerveau qui se développe anormalement. De quoi peut-être expliquer les effets durables des traumatismes de l’enfance. 5 à 15% des enfants de moins de 15 ans subissent des violences physiques et/ou sexuelles sévères dans le monde occidental. Ces sévices augmentent considérablement […]Continue reading

…  Mais pour Me Diebolt, spécialiste de ces questions, « beaucoup de magistrats n’ont pas été formés à ces questions et ne connaissent pas les mécanismes du cerveau lors d’un viol. La sidération et la dissociation conduisent à l’anesthésie. On ne ressent plus sa peur, comme l’a analysé la psychiatre Muriel Salmona. C’est d’autant plus vrai pour un […]Continue reading

(Synthèse de la dernière partie du Colloque « L’inceste dimensions juridique et psychologique » par Sandra Hernandez Cussigh) Les résultats des études scientifiques et médicales montrent que plus les traumatismes dans l’enfance se répètent plus les conséquences à l’âge adulte sont graves. Les professionnels parlent de troubles de stress post-traumatiques (TSPT) caractérisés dans le manuel diagnostique et […]Continue reading

Aux États-Unis, environ 200.000 jeunes de moins de 18 ans sont mariés chaque année, souvent pour cacher des viols passés… et futurs, car c’est l’un des seuls moyens de contourner les poursuites judiciaires liées à la majorité sexuelle de l’enfant. Source : En Floride, une fillette de 11 ans forcée d’épouser son violeur qui l’a mise […]Continue reading